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Légende: Chaibia en compagnie de Madame
Fabius, Jacques Lang
et Truch, grand palais FIAC de
Paris,1984 (archive : Galerie Alif Ba)
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النشـرة الفنيـة
تشكيـل
Sur les pas des précurseurs
de la peinture moderne au Maroc
Hommage historique à Chaïbia digne de son calibre artistique
النشـرة
الإخبـارية
Dr.Cheikh
Abdellah
A l’unanimité,
tous les passionnés et amateurs d’art
s’accordent à dire que le Musée Mohammed VI d’art moderne
et contemporain (MMVI) est dans son
devoir institutionnel d’inaugurer la
rentrée 2018-2019 par une exposition rétrospective de l'artiste peintre Chaïbia Tallal(1929-2004), figure
légendaire de l'art moderne qui nous a
légué une œuvre prolifique et rayonnante
dont la réputation a dépassé la
frontière. Reconnaissance
historique oblige, et ce suite au cycle des expositions
commémoratives immortalisant le parcours créatif des
précurseurs au Maroc à l’image de Ahmed Cherkaoui et de Mohamed Amine
Demnati, disparus à la fleur de l’âge.
Peintre
humaniste, poétesse illuminée et imagière d'un renouveau de la picturalité
marocaine… Chaïbia a été tout cela à la fois. Un parcours monumental qui éternise
la mémoire tatouée de cette géante et
pionnière en matière d'art brut: « Elle a croisé sur son chemin nomade,
Matisse, Klee, Picasso et Van Gogh. Elle a appris qu’elle appartenait à un
pays, une époque de ce pays fertile en génies picturaux avec un Cherkaoui en
tête de la caravane dorée.», a écrit André Laude , grand poète et écrivain français.
L’immense Chaïbia demeure une mémoire collective vivante et un précieux
patrimoine immatériel. Ses expositions
inaugurales au Maroc et à l’étranger dignes d’un véritable musée illustrant
quelques facettes représentatives
de sa vie artistique à l’échelle mondiale : Affiches historiques , écrits de référence, toiles
et sérigraphies, tapis, films et témoignages audiovisuels , éditions
d’art rares… Chaque exposition-hommage se veut une initiative qui met à l'honneur la place de la peinture et la création du Maroc : Un
véritable hommage à la mémoire de l'art
au Maroc et du monde entier.
En 1984, Feu SM Hassan II a adressé à
Chaïbia une lettre d’honneur dont
voici un extrait :« Ces
Reconnaissance mondiale
En 1984,
Chaïbia a été sélectionnée, à
titre exclusif et honorifique, par l’institut Français d’Athènes pour présenter
« La Femme et la
Méditerranée » lors de l’exposition événementielle au Musée d’Athènes (
Grèce), cette exposition historique aété marquée par un nombre insondable de
visiteurs concernés, toutes générations et
provenances confondues.
Par ses
œuvres captivantes, Chaïbia a inauguré
le 16 juin 1984 le cycle des expositions del’espacehistorique L'Octogone de Montmorillon (une chapelle romane cimétériale du XIIe siècle de la ville de Montmorillon (Vienne). Elle fait l’objet d’un
classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840).
En 1997, Chaïbia a inauguré également le grand espace culturel et artistique « le
Quartz »
(Brest)
dont
l’exposition a drainé un grand nombre de visiteurs et passionnés d’art :«Madame,
les habitants de Brest se sont réveillés avec vos couleurs », a écrit le
directeur de cet espace prestigieux dans une lettre adressé à Chaïbia.
Source de fierté du Royaume et symbole d’une
expression picturale éternellement
authentique, Chaïbia est une école de peinture en soi. Sans conteste,
elle demeure parmi les artiste-peintres les plus célèbres de tous les temps au
Maroc. Aujourd’hui, l’on parle encore de sa peinture, de cette école et ses
rudiments, de son univers et ses composantes. Telle est l’histoire de la grande
plasticienne Chaïbia . Impossible de parler de l’histoire de la peinture au
Maroc sans citer son nom.
Georges Boudaille en tant que critique d’art et
commissaire a écrit lors de la participation de Chaïbia à la
Biennale Internationale des Arts à Paris (février 1978) : «
Quand la couleur jaillit spontanément du cœur, le trait ne doit pas la
trahir : il doit sauvegarder l’émotion jusque dans le contour et sa maladresse tremblée devient
une qualité. L’hésitation qui tend à signifier ne nuit pas à la force et les
formes et les couleurs ne font plus qu’un. Elles se confondent dans une
synthèse intime, à l’image de l’harmonie qui règne dans le cœur du peintre.
Félicitons-nous que le Maroc honore ses artistes et souhaitons qu’il y en ait
beaucoup de la qualité de Chaïbia ».
Consécration au
pluriel
A titre de consécration à l’échelle mondiale, Chaïbia été
sélectionnée par La Direction des Editeurs de l’American Biographical
Institute fondée en en 1967 ,
tout en remportant le prix de
distinction pour Action de Chef de File
( Distinguished Leadership Award) au titre
de la première édition du
Répertoire International des Chefs de File, et ce
pour sa grande contribution aux
arts : « c’est une tache difficile que de sélectionner un nombre
limité de personnes ayant un rôle éminent parmi la population du monde entier.
La Direction des Editeurs de l’American Biographical Institute a choisi pour cette première édition
commémorative de l’International Directory of Distinguiched Leadership, le
groupe qui à son avis est le plus méritoire parmi les femmes et les hommes les
plus connus. Plus que six mille noms figurent dans cette première édition. Des
exemplaires de cette première édition commémorative, qui seront distribués dans le monde entier, seront
utilisés par les bibliothécaires, les historiens, les biographes et les
lecteurs en général comme source faisant foi
sur les chefs de file de notre temps. Beaucoup de noms cités dans ce volume n’ont pas encore été cités dans les who’s who d’autres éditeurs. Puissent les succès
qu’on trouve dans ces pages inciter d’autres à lutter dans un but supérieur
pour construire des communautés et des nations où il fasse bon vivre. »,
affirme la dite Direction.
Dans le cadre de
cette première édition, le nom de
Chaïbia figure parmi les grands ténors
de l’art mondial en l’occurrence Victor Vasarely ( 1906-1997) reconnu
comme étant le père de l' "Op art" _art optique_ qui a développé son propre modèle d'art abstrait géométrique,
travaillant dans divers matériau_, mais employant un nombre minimal de
formes et de couleurs. Ce n’est pas un
hasard, donc, que Chaïbia est nommée députée au Parlement Mondial de la Sûreté
et de la Paix avec un passeport diplomatique délivré par le conseil mondial de la paix et
de la sécurité. En 2012, elle figure dans « Encyclopedia of the
Mideast and North Africa » (volume 4) par Indiana University Press et dans Oxford University Press (New York):
« Dictionary of African Biography » par Osire Glasier( History
Department). Dans cet
ouvrage de référence, Osire Glasier a écrit un article de référence dont voici
un extrait: « Chaïbia Tallal a été
sans conteste la plus célèbre peintre du Maroc du 20 ème siècle. De plus, elle figure
parmi les grands peintres du
monde, au même
titre que Miro, Picasso
et Modigliani, pour ne citer que
ceux-là. Aussi, elle est la seule peintre du Maroc dont les oeuvres sont cotées
à la bourse. Il faut dire que ces tableaux peuvent se vendre jusqu'à un million de dirhams pour un grand
format(…). Le succès de Chaïbia a été fulgurant. La mahboula, la folle du petit
village de Chtouka séduit un grand public entre autres à Copenhagen, Frankfort,
Ibiza, Tunis, Brésil, Rotterdam, Irak, Barcelone, Nouvelle-Zélande et Beverly
Hills. Les grands critiques d’art ont consacré Chaïbia grande peintre du 20ème
siècle, d’ailleurs avec raison puisque les œuvres de cette dernière côtoient
celles de Miro, Picasso et Modigliani pour ne citer que ceux-là. Aussi, dès
1971, Chaïbia figure dans le Larousse de
l’art dans le monde ; et en 1977, elle entre dans le dictionnaire de
référence Bézénit (…) Et s’il faut à tout pris classifier ce style, certains
critiques s’accordent pour dire qu’on est en présence d’un « art
brut », c’est - à -dire un idéal plastique tel que préconisé par le
mouvement européen Cobra en 1945, à savoir un art dégagé de toute influence
savante, culturelle et historique .En réalité, le style de Chaïbia est
inclassable. Plus tard, on dit un « Chaïbia » comme on dit un
« Picasso »…mais aussi comme on vend un « Picasso » :
Chaïbia est la seule peintre marocaine à
être cotée en bourse ;et les collectionneurs sont prêts à débourser la
bagatelle d’un million de dirhams pour acquérir une seule de ses toiles ! Chaïbia Talla s’éteint à Casablanca en 2004,
à l’âge de soixante quinze ans, suite à une crise cardiaque. Elle a livré à la postérité une abondante
production artistique. Ses toiles alimentent les collections de nombreux Etats,
dont la France, l’Italie, le Japon, la Suisse, l’Inde, Haïti, l’Australie, la
Grande Bretagne et les Etats –Unis. Ses toiles alimentent également les plus
grandes collections privées du monde, dont celle du Roi du Maroc, et celles
d’autres collectionneurs entre autres en France, Italie, Liban, Egypte, Inde,
Canada, Espagne, Suisse, Hollande, Belgique, Haïti, Japon, Suède, Danemark,
Allemagne, Australie, Etats-Unis, Grande Bretagne, Nouvelle-Zélande, et Afrique
du sud. Somme toute, la mahboula de Chtouka a été une baraka, une grâce pour le
Maroc entier.».
Cette consécration distinctive au pluriel a été
marquée aussi par l’obtention
avec mérite « the Cultural
Doctorate in Fine Arts » (World University Press). Elle a été le sujet de prédilection des articles et
des couvertures des magazines les
plus prestigieux : L’œil, Connaissance des arts, Artension, L’officiel, Elle,
etc. Dans les ventes aux enchères internationales, Chaïbia se retrouve
systématiquement dans les mêmes lots que Picasso, Braque, Miro, Appel, Dubuffet
et autre Tinguely. Seule représentante féminine de l’art pictural du XXème
siècle à la côtoyer dans les catalogues : Sonia Delaunay (1885-1979).
"Chaibiesques" honoré au Grand Palais-Champs Elysées
Dans le cadre du Salon international du Livre ancien et de bibliophilie organisé en 2009 par le Syndicat national de la
librairie ancienne et moderne et la Chambre nationale de l’estampe, Quadra’Art Léoda Scale a présenté au Grand Palais-Champs
Elysées à Paris le recueil de poèmes inédits de Chaïbia transcrits par Marc de Gouvenin et
illustrés par le grand maître verrier Michel Barbault, qui a été sélectionné
parmi les 10 meilleurs illustrateurs mondiaux . Cet artiste de renom a fait 30
exemplaires de ce beau livre intitulé «Chaibiesques » dont chacun est
réalisé entièrement à la main selon l’esprit du texte, signé et numéroté :
36 pages, 13 poèmes, 17 illustrations plus la couverture (peinture à l’huile et
collages, papier Arches à la forme, texte sur Rivoli marouflés composé en
Zapfino, format 31 X 40, dos carré, sous coffret).
Ce livre d’art a remporté le prix d’Albert Camus de l’illustration annoncé dans le cadre des 6ème journées du livre ancien et de la bibliophilie à Lourmarin, village d’Albert Camus. Sur le stand de Quadra’Art Léoda Scale, le recueil passionnant de Chaïbia a été entouré par d’autres ouvrages d’art illustrés par une pléiade distinguée d’artistes de renom, en l’occurrence Salvador Dali, Henri Matisse, Fernand Leger, Pierre Bonnard, Georges Braque, Chillida Eduardo, Jean Cocteau, Raoul Dufy, Maurice Denis, Joan Miro, Antoni Tapies, Victor Vasarely, Maurice de Vlaminck, Ossip Zadkine, Kisling Moise, et Louis Legrand.
Il est à rappeler que cette manifestation a accueilli 150 libraires et 40 galeries d’art internationales. Elle a été marquée également par la présence de plus de 35 000 visiteurs et invités y compris les responsables des sociétés de bibliophiles et les membres du jury, entre autres, Robert Gallimard, éditeur, Catherine Camus, fille d’Albert Camus, Claude Blaizot, grand libraire éditeur expert en livres illustrés, Frédéric Castaing, président du Syndicat de la librairie ancienne et moderne.
Ce livre d’art a remporté le prix d’Albert Camus de l’illustration annoncé dans le cadre des 6ème journées du livre ancien et de la bibliophilie à Lourmarin, village d’Albert Camus. Sur le stand de Quadra’Art Léoda Scale, le recueil passionnant de Chaïbia a été entouré par d’autres ouvrages d’art illustrés par une pléiade distinguée d’artistes de renom, en l’occurrence Salvador Dali, Henri Matisse, Fernand Leger, Pierre Bonnard, Georges Braque, Chillida Eduardo, Jean Cocteau, Raoul Dufy, Maurice Denis, Joan Miro, Antoni Tapies, Victor Vasarely, Maurice de Vlaminck, Ossip Zadkine, Kisling Moise, et Louis Legrand.
Il est à rappeler que cette manifestation a accueilli 150 libraires et 40 galeries d’art internationales. Elle a été marquée également par la présence de plus de 35 000 visiteurs et invités y compris les responsables des sociétés de bibliophiles et les membres du jury, entre autres, Robert Gallimard, éditeur, Catherine Camus, fille d’Albert Camus, Claude Blaizot, grand libraire éditeur expert en livres illustrés, Frédéric Castaing, président du Syndicat de la librairie ancienne et moderne.
Le grand peintre brésilien
Menelaw Sete rend hommage à Chaïbia
Près
de 15 ans après sa disparition, Chaïbia continue d’être une source
d’inspiration pour les artistes du monde entier ! Le peintre brésilien Menelaw
Sete lui a rend un hommage posthume dans sa première exposition
au Maroc inaugurée le 28 Mars à Casablanca sous le signe « Transculturalité et brassage »,
et ce en présence de plusieurs
personnalités officielles et artistiques, en autres, l’ambassadeur du Brésil au Maroc, son Excellence M. José Humberto de BritoCruz .On l’appelle le Picasso du Brésil, Menelaw Sete célébré pour ses
formes et ses couleurs vives. Il s’est forgé une réputation internationale
grâce à un style, celui du dessin et des peintures mélangées. Il expose à
travers les Musées et les grandes salles du monde entier. A New York, dans les
pays d’Amérique du sud, en Europe, Menelaw Sete vit et travaille à Bahia dans
le Salvador dans son studio de la Via Joao de Deus, au cœur de ce Pelourinho
dont l’UNESCO a fait un Patrimoine universel de l’Humanité : « Lorsque j’ai
découvert pour la première fois les œuvres de Chaïbia à Bahya au Brésil en 1980, j’ai ressenti tout de suite l’énergie qu’elle
pouvait dégager. J’ai aussi aimé son émancipation, sa force, son envie de
mettre la femme en avant. L’art
brut est d’ailleurs mon point commun avec le calibre mondial de Chaïbia … Mon admiration est traduite dans ma toile "Sonhos de Chaïbia"… Elle est une grande artiste, icône des arts plastiques marocains,
qui a marqué l'époque, fait l'histoire et continue d'influencer les
générations. J'ai choisi de lui rendre hommage pour la force de son travail et
son art qui dépasse les frontières. La couleur, les formes gestuelles et les
coups de pinceau pleins de messages sont dignes d'inspiration et de tous mes
hommages. », confié Menelaw Sete.
Chaibia Super Star
Lors de son
exposition – événement à Rabat, la direction du Centre Culturel Français a présenté
Chaïbia par un
texte de référence intitulé
« Chaïbia Super Star» dont
voici un extrait révélateur à
plusieurs titres:
« C’est en
ces termes percutants qu’INFO-SOIR, journal télévisé en langue française du
Maroc, a annoncé, le lendemain de l’ouverture, l’exposition de la femme peintre
Chaïbia au Centre Culturel Français de Rabat. L’événement
était d’importance:très connue en Europe, pensionnaire permanente d’une grande
galerie parisienne, spécialement choyée à Grenoble à l’occasion des
manifestations « Présence artistique du Maroc », appréciée dans son
propre pays, Chaïbia n’avait pas exposé à
rabat depuis 1977, malgré de nombreuses sollicitations.
IL faut donc la remercier doublement d’avoir fait sa
rentrée dans la capitale sous l’égide du Centre Culturel Français. Elle y était
désirée, attendue, et tout, locaux, affiches, invitations, avait été préparé
pour l’accueillir en beauté. Elle apporta une œuvre à la mesure de cette
attente.
Dès le début du vernissage, la foule des grands jours
était au rendez-vous. De 17 à 21 heures près de mille personnes ont défilé dans
le centre, séduites aussi bien par la force et la qualité de la peinture,
brutale, précise, colorée (Chaïbia
fait chanter les couleurs du Maroc ….) que par le charme personnel de
l’artiste, reine recevant l’hommage de ses admirateurs.
Une grande première en cadeau : deux tapis lumineux,
tissés dans le Mellah par une « ma’allema » (contremaîtresse) toute
heureuse de « faire du
Chaïbia» au lieu des éternels motifs traditionnels. Evènement commenté
par toutes les tisseuses admiratives du quartier ! Et c’était bien de
tapis qu’il s’agissait, non de tapisseries, pour pouvoir aussi « marcher
dans la couleur » selon le vœu de leur créatrice.
Prévue pour deux semaines, l’exposition dut être
légèrement prolongée. Le public le plus diversifié, toutes couches sociales
confondues, a défilé sans cesse au Centre Culturel. Car, appréciée des
connaisseurs, Chaïbia est peut-être le seul
peintre marocain à être vraiment descendu dans la rue : si le chauffeur de
taxi n’en connait qu’un, c’est elle. Les marocaines modestes lui sont gré
d’avoir réussi pour elles. Elle plaît : par l’éternelle jeunesse de sa
peinture, vision spontanée, non altérée ni édulcorée, qui jaillit, qui naît,
qui coule de source. Elle séduit, par son amour des formes simples, drues, de
la couleur dont elle use en grande gourmande, comme les enfants.
De sa main merveilleusement malhabile, Chaïbia sait raconter une
histoire. Sans équivoque aucune, le pinceau révèle son monde, son enfance
heureuse ou malheureuse, en tout cas éblouie. Elle se souvient, Chaïbia, et à son tour enchante
ses visiteurs.
«Occident fatigué et blasé, tourmenté et sceptique, toi
qui t’imagines encore être le phare du monde, regarde bien Chaïbia l’orientale dans
l’explosion de ses couleurs magiques, c’est elle qui t’éblouira ! »
commente le critique Pierre Brisset. Ce pourrait être le mot de la fin, s’il ne
convenait d’ajouter qu’un éditeur de Rabat, séduit par l’exposition, envisage
pour la rentrée de lancer sur le marché des kiosques et bureaux de tabac des
cartes postales reproduisant des œuvres de Chaïbia.
Saluons l’idée, en espérant qu’elle sera la première d’une série qui mettra
vraiment l’art des peintres marocains à la portée de tous. ».
Critique
d’art
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